D’après Le Monde, plusieurs « YouTubeurs » seront sanctionnés « avant l’été » par la Direction générale de la répression des fraudes (DGCCRF) qui examine les contrats passés avec les marques et les possibles cas de publicité dissimulée dans leurs vidéos. Cette pratique constitue une « pratique commerciale trompeuse », certains d’entre eux « récoltant des sommes comprises entre 20 000 et 100 000 euros pour chanter les louanges d’une marque ».
>> Lettre Juridique NPA n°39 / >> Le Monde